Sur la base d’un processus inscrit dans la durée et la concertation, l’Université a décidé de se doter d’un cadre méthodologique participatif et structuré visant à améliorer la qualité de vie et les conditions de travail de ses agents.
En cette rentrée 2024, l’Université, via la Direction des relations et ressources humaines (DRRH), initie une démarche au long cours destinée à définir, sur la base d’un état des lieux préalable, des axes de progrès concrets dans les différents champs de la qualité de vie et conditions de travail (QVCT).
D’ici la fin de l’année 2024, deux groupes de travail - l’un dédié au personnel enseignant et l’autre au personnel administratif - verront ainsi le jour. Leurs rôles :
- Effectuer un état des lieux de la QVCT au sein de l’Université
- Faire remonter des propositions à un comité de pilotage décisionnaire
- Faire émerger ce qui mérite d’être analysé dans le cadre d’un futur baromètre social
Ces groupes de travail, constitués sur la base du volontariat, vont donner lieu à appel à candidatures auprès de l’ensemble des personnels au cours du mois d’octobre.
En préambule, un questionnaire sera soumis, d’ici les vacances de la Toussaint, aux personnels afin de recueillir leur ressenti sur leurs conditions de travail au regard des indicateurs de la QVCT.
Création d'un baromètre social
Le champ de réflexion de ces groupes, composés d’une dizaine d’agents chacun, aura vocation à s’étendre aux thématiques de la QVCT :
- Relations au travail et climat social
- Contenu du travail
- Santé au travail
- Compétences et parcours professionnels
- Egalité professionnelle
- Management participatif et engagement des agents
Au fil d’un processus continu et réflexif, des propositions seront soumises à un comité de pilotage (en cours de constitution) qui pourra décider de les expérimenter à différentes échelles avant d’en valider la mise en œuvre définitive.
L’ensemble du processus sera complété par la création, à la fin de l’année universitaire 2024-2025, d’un baromètre social, comme il en existe déjà dans certaines universités, entreprises ou organisations. Ce baromètre sera destiné à mesurer, sur la durée, l’évolution du climat social au sein des services et composantes de l’Université et à améliorer, le cas échéant, les conditions de travail des personnels.