Conclusion
Comme on le voit, en dehors de la lyrique, la littérature occitane du moyen âge est variée à défaut d'être abondante et beaucoup des pièces conservées sont d'une grande valeur littéraire. Pourtant, on ne peut qu'être frappé par leur petit nombre et par la rareté des manuscrits qui les ont conservées et qui sont souvent des pièces uniques et anonymes. Leur a-t-on préféré la poésie lyrique au point qu'elles aient suscité aussi peu d'intérêt ou devons-nous une reconnaissance éternelle à l'Italie qui a compris, elle, la valeur et l'intérêt de la poésie des troubadours au point de l'intégrer à son histoire littéraire ?