\renewcommand{nomdelacommande}{nouvelledefinition},
et la nouvelle définition ne prend effet que dans la partie du
document située après l'appel de \renewcommand.
Par exemple, si vous voulez numéroter toutes vos sous-sections par s-A, s-B, s-C, etc..., où s est le numéro de la section en cours, vous écrirez au début du document
\renewcommand{\thesubsection}{\thesection -\Alph{subsection}}.
Les puces des listes peuvent aussi être modifiées puisqu'elles sont définies par les commandes \labelitemi \labelitemii \labelitemiii \labelitemiv. Par exemple,
\renewcommand{\labelitemi}{\rule{1ex}{1ex}}
fera des carrés noirs devant chaque item des listes de
premier niveau qui suivent cette redéfinition.
\newcommand{nomdelacommande}{definition}.
C'est utile pour résumer une saisie un peu longue et redondante, par
exemple \newcommand{\hft}{Hubert-Félix Thiéfaine} si vous
écrivez un article où ce nom revient souvent. Le compilateur remplacera simplement la commande \hft par
Hubert-Félix Thiéfaine.
Un autre exemple :
\newcounter{remarque}
\setcounter{remarque}{1}
\newcommande{\rema}{Remarque~\theremarque\addtocounter{remarque}{1}}
fournit une commande \rema qui écrit Remarque avec son
numéro après (remarquez comment on fait avancer le compteur dans la définition).
On peut aussi créer des commandes acceptant des arguments avec
\newcommand{nomdelacommande}[nombredarguments]{definition}.
On évoque les arguments dans la définition en écrivant #
devant leur numéro.
Par exemple,
\newcommand{\grpuisit}[2]{\textbf{#1}\textit{#2}}
\grpuisit{ceci sera en gras}{~et ceci en italiques}