Pour insérer un tableau dans une page, vous choisissez le menu Tableau -> Insertion -> Tableau. Vous précisez dans cette fenêtre le nombre de lignes et de colonnes que vous souhaitez.
Via le menu tableau -> propriété du tableau, vous pouvez modifier les options de votre tableau. Il ne vous reste plus qu'à le remplir de vos données.
Dans le document du TD, reproduisez les deux tableaux ci-dessous et ajoutez une légende numérotée "Tableau X" (où « X » est le numéro du tableau).
Pour la numérotation des légendes du tableau, vous ferez comme nous l'avons vu avec les images. Vous devez donc :
France | Belgique | Suisse |
---|---|---|
quatre-vingts | octante | huitante |
serpillière | wassingue | panosse |
Le monde des ânes comprend | les vrais ânes |
---|---|
les ânes déguisés (hommes) | |
Le monde des singes comprend | les vrais singes |
les singes déguisés (hommes) |
Dans les paragraphes situés au dessus des tableaux, insérez une phrase avec un renvoi du type "Le tableau X représente ...".
Insérez une table des tableaux à la fin du document.
Ce principe est en fait applicable à n'importe quel objet que vous souhaitez légender. Malgré tout, ajouter une légende à une figure ou un tableau est quelque chose d'habituel et une fonction est donc prévue pour ça dans Word (de même que dans OpenOffice).
Dans le document BulletinAfia.doc, insérez une image supplémentaire et un tableau supplémentaire. Ajoutez une ligne sous cette image (de même sous le tableau).
Via le menu Insertion -> Références -> Légende, et en choisissant l'intitulé Figure ou Tableau suivant le cas, tapez une légende qui sera numérotée automatiquement.
Remarque : Les légendes auront pour style de paragraphe le style « générique » Légende. C'est ce même style de paragraphe qui sera utilisé par Word pour les légendes d'« Image », de « Tableau » ou d'« Équation ». Aucun moyen dans ce cas de modifier la mise en forme des légendes des images sans modifier la légende des autres objets du document.
Conclusion : cette autre méthode de légendage existe, est rapide, mais n'offre pas autant de possibilités que peut en offrir la première méthode qui elle s'adapte à tous les types d'objets.